Hyangmok Baik South Korea, b. 1990
The First Mourning, 2024
Mixed media on canvas
180 x 150 cm
70 7/8 x 59 in
70 7/8 x 59 in
Copyright The Artist
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The work of Hyangmok Baik continues in a tradition of bold, somewhat crude, almost post-aesthetic contemporary painting. His work combines a flattened perspective; a raw, heavily-worked surface; unpredictable colour-schemes; and...
The work of Hyangmok Baik continues in a tradition of bold, somewhat crude, almost post-aesthetic contemporary painting. His work combines a flattened perspective; a raw, heavily-worked surface; unpredictable colour-schemes; and irreverent subject matter – from disembodied heads to ducks to platters of fruit or bottles of champagne – the paintings seem atemporal, acultural, ahistorical, and, paradoxically, universally relatable. Through recontextualization, deconstruction and a fair amount of dark humour, Baik’s paintings seem just as relevant in California just as much as they articulate the laissez-faire, post-punk lifestyle of a South Korean millennial.
Le travail de Hyangmok Baik s’inscrit dans une peinture contemporaine audacieuse, volontairement brute, presque anti-esthétique. Ses œuvres mêlent une perspective aplatie, des surfaces denses et texturées, des palettes de couleurs surprenantes, et des sujets inattendus : têtes détachées, canards, plateaux de fruits ou bouteilles de champagne. À la fois intemporelles, sans attache culturelle ou historique, elles parlent pourtant à tout le monde. Grâce à la recontextualisation, à la déconstruction et à un humour noir bien dosé, les peintures de Baik trouvent un écho aussi bien en Californie qu’elles incarnent l’esprit libre et post-punk d’un millénial sud-coréen.
Le travail de Hyangmok Baik s’inscrit dans une peinture contemporaine audacieuse, volontairement brute, presque anti-esthétique. Ses œuvres mêlent une perspective aplatie, des surfaces denses et texturées, des palettes de couleurs surprenantes, et des sujets inattendus : têtes détachées, canards, plateaux de fruits ou bouteilles de champagne. À la fois intemporelles, sans attache culturelle ou historique, elles parlent pourtant à tout le monde. Grâce à la recontextualisation, à la déconstruction et à un humour noir bien dosé, les peintures de Baik trouvent un écho aussi bien en Californie qu’elles incarnent l’esprit libre et post-punk d’un millénial sud-coréen.
